Depuis l’an 2000, les « jugements » des divorces sont clairement guidés par l’intérêt des enfants. Hormis pour quelques rares motifs graves (comme une liaison extraconjugale ayant engendré… 4 enfants !), on ne peut plus divorcer sur sa seule décision « contre » l’autre qu’au terme de deux années de séparation. Par contre si les deux époux sont d’accord, ils peuvent très facilement divorcer à l’amiable. C’est si avantageux à tous points de vue (coût financier, durée de la procédure, « pacification » de la relation et mise à l’abri émotionnelle des enfants) que 9 divorcés sur 10 ont choisi cette voie en Suisse !
Ni avocat ni bagarres stériles… !
Cette procédure de divorce dite « par consentement mutuel » est envisageable que les deux conjoints soient d’accord sur la manière dont ils vont gérer les conséquences pratiques de leur mariage en totalité ou seulement de manière partielle. Pour régler ces points, ils peuvent s’appuyer sur un médiateur ou sur la décision du juge qui regardera l’intérêt des enfants s’ils en ont. Coût de ce divorce suisse « amical » ? Pour quiconque bénéficie d’une assistance juridique, la procédure ne coûte presque rien. Les autres doivent régler des droits de greffe. Et, pour être sûrs de remplir correctement les papiers, ils peuvent faire appel à un avocat… ou s’en passer, en le faisant avec l’assistance en ligne de https://divorce.ch/ qui ne coûte que 550 CHF TTC (vérification par un avocat de la convention de divorce ainsi établie, avant envoi au tribunal).